Samedi 6 octobre 2012.
Et voilà, comme on dit des fois, « Toutes bonnes choses ont une fin ». Nous sommes (peut-être) arrivés à la fin de ce (cette partie du) voyage.
Nous sommes allez faire une virée de 4 jours sur l’île de Brac en face de Split. Le coin est superbe, l’eau y est claire et nous avons profité de la température de la mer encore chaude pour s’y baigner.
Malgré le peu de kilomètres journaliers, les inconforts, pour ne pas dire les douleurs, sont toujours persistants.
C’est la mort dans l’âme que nous avons repris le ferry pour le continent avec un dernier plan de bataille plein d’espoir (illusoire).
Voir un physio spécialiste du sport, régler ces problèmes de psoas-iliaques et autres adducteurs et continuer vers le sud, simple non ?
Seulement voilà, le corps humain n’a pas la même mécanique qu’un vélo. C’est une belle machine, mais quand elle commence à merder, il ne suffit pas d’un petit coup de tournevis ou de clé à molette pour la remettre en marche.
Après de longues discutions, nous avons décidé, Rosy et moi, de rentrer vers la Suisse.
Nous ne savons pas encore exactement quand ni comment, en vélo, en train, en avion ou en pédalos, mais nous serons de retour pour les fêtes.
C’est chouette , je vais pouvoir reprendre tous ces kilos perdus. Je déconne. Un peu jaune je vous l’avoue, mais il faut bien garder le moral.
Bises à tous
Phil
Ps. Ce n’est pas la fin de ce blog, juste une pause. Parci et Parla (nos vélos) en veulent encore … Restez connectés.
Et voilà, comme on dit des fois, « Toutes bonnes choses ont une fin ». Nous sommes (peut-être) arrivés à la fin de ce (cette partie du) voyage.
Nous sommes allez faire une virée de 4 jours sur l’île de Brac en face de Split. Le coin est superbe, l’eau y est claire et nous avons profité de la température de la mer encore chaude pour s’y baigner.
Malgré le peu de kilomètres journaliers, les inconforts, pour ne pas dire les douleurs, sont toujours persistants.
C’est la mort dans l’âme que nous avons repris le ferry pour le continent avec un dernier plan de bataille plein d’espoir (illusoire).
Voir un physio spécialiste du sport, régler ces problèmes de psoas-iliaques et autres adducteurs et continuer vers le sud, simple non ?
Seulement voilà, le corps humain n’a pas la même mécanique qu’un vélo. C’est une belle machine, mais quand elle commence à merder, il ne suffit pas d’un petit coup de tournevis ou de clé à molette pour la remettre en marche.
Après de longues discutions, nous avons décidé, Rosy et moi, de rentrer vers la Suisse.
Nous ne savons pas encore exactement quand ni comment, en vélo, en train, en avion ou en pédalos, mais nous serons de retour pour les fêtes.
C’est chouette , je vais pouvoir reprendre tous ces kilos perdus. Je déconne. Un peu jaune je vous l’avoue, mais il faut bien garder le moral.
Bises à tous
Phil
Ps. Ce n’est pas la fin de ce blog, juste une pause. Parci et Parla (nos vélos) en veulent encore … Restez connectés.
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