Vendredi, le 24 juillet 2015
Connaissez-vous les 3 besoins de base du voyageur à vélo ?
Dormir, besoin de base numéro un.
1ère option, camping sauvage.
La recherche d’un petit coin où monter la tente commence vers les 17heures et peut durer, durer, durer…
Il faut qu’il soit à l’abri des regards et en principe pas trop près du bruit des voitures.
2ème option, camping officiel.
Il faut qu’il corresponde à notre budget. Autant dire qu’en ces mois de juillet et août c’est presque mission impossible.
3ème option, chez l’habitant.
Avec Warmshower, nous avons la possibilité de planter notre tente dans le jardin de notre hôte, et de ne pas avoir à dégager le matin avant que les flics nous trouvent, le camping sauvage étant interdit en France. Par contre si notre hôte commence son job tôt le matin et que l’accès à son jardin passe par le garage de sa maison, nous nous retrouvons en selle à une heure où normalement l’on est encore dans les bras de Morphée.
Manger, besoin de base numéro deux
1ère option, le restaurant.
De temps en temps, toujours question de budget.
2ème option, nous cuisinons.
Solution la plus utilisée, seule contrainte, deux feux, un gaz un bois et deux casseroles.
Nous avons renoncé au micro-onde et au frigo, nous n’avons pas su où les mettre sur nos vélos.
3ème solution, chez l’habitant .
Toujours Warmshower, nous fait découvrir des spécialités locales. Humm …
Le PQ, troisième besoin de base.
Et oui, qui l’eu cru. Le papier chiotte. Sans lui vous êtes dans la merde. Avez-vous déjà essayé d’acheter UN seul rouleau de PQ ? Non ils viennent toujours en groupe.
Vous nous voyez nous balader avec 12 rouleaux PQ sur le porte-bagages.
Les gens vont dirent, « Pauvres cyclistes, ils doivent avoir une de ces tourista. »
La solution d’en piquer dans les restaurants est la plus utilisée. Encore faut-il qu’il ne soit pas trop merdique. C’est fou ce que les gens peuvent être radins quand il est question PQ dans les bistros.
Alors quand ces trois besoins de base sont réunis dans la même soirée, c’est vraiment la fête.
Merci Annik et Yves de St. Nazaire et merci Marie et David de Surzur, vous nous avez comblé.
Garder un p'tit vélo dans la tête, et vivez vos rêves.
Le vélo "C'est la base" comme dirait Annik Habon une autre de nos amies
Ps. Comme le trois mousquetaires qui étaient quatre, il y a un quatrième besoin de base du voyageur à vélo, les rencontres.
Merci à tous pour ces merveilleux moments de partage.
Bises Rosy et Phil
Connaissez-vous les 3 besoins de base du voyageur à vélo ?
Dormir, besoin de base numéro un.
1ère option, camping sauvage.
La recherche d’un petit coin où monter la tente commence vers les 17heures et peut durer, durer, durer…
Il faut qu’il soit à l’abri des regards et en principe pas trop près du bruit des voitures.
2ème option, camping officiel.
Il faut qu’il corresponde à notre budget. Autant dire qu’en ces mois de juillet et août c’est presque mission impossible.
3ème option, chez l’habitant.
Avec Warmshower, nous avons la possibilité de planter notre tente dans le jardin de notre hôte, et de ne pas avoir à dégager le matin avant que les flics nous trouvent, le camping sauvage étant interdit en France. Par contre si notre hôte commence son job tôt le matin et que l’accès à son jardin passe par le garage de sa maison, nous nous retrouvons en selle à une heure où normalement l’on est encore dans les bras de Morphée.
Manger, besoin de base numéro deux
1ère option, le restaurant.
De temps en temps, toujours question de budget.
2ème option, nous cuisinons.
Solution la plus utilisée, seule contrainte, deux feux, un gaz un bois et deux casseroles.
Nous avons renoncé au micro-onde et au frigo, nous n’avons pas su où les mettre sur nos vélos.
3ème solution, chez l’habitant .
Toujours Warmshower, nous fait découvrir des spécialités locales. Humm …
Le PQ, troisième besoin de base.
Et oui, qui l’eu cru. Le papier chiotte. Sans lui vous êtes dans la merde. Avez-vous déjà essayé d’acheter UN seul rouleau de PQ ? Non ils viennent toujours en groupe.
Vous nous voyez nous balader avec 12 rouleaux PQ sur le porte-bagages.
Les gens vont dirent, « Pauvres cyclistes, ils doivent avoir une de ces tourista. »
La solution d’en piquer dans les restaurants est la plus utilisée. Encore faut-il qu’il ne soit pas trop merdique. C’est fou ce que les gens peuvent être radins quand il est question PQ dans les bistros.
Alors quand ces trois besoins de base sont réunis dans la même soirée, c’est vraiment la fête.
Merci Annik et Yves de St. Nazaire et merci Marie et David de Surzur, vous nous avez comblé.
Garder un p'tit vélo dans la tête, et vivez vos rêves.
Le vélo "C'est la base" comme dirait Annik Habon une autre de nos amies
Ps. Comme le trois mousquetaires qui étaient quatre, il y a un quatrième besoin de base du voyageur à vélo, les rencontres.
Merci à tous pour ces merveilleux moments de partage.
Bises Rosy et Phil