Vendredi 22 mai, Sarcey
Petit dialogue matinal sur le banc du cimetière de Le Breuil.
Phil, la bouche pleine de bircher « Quesque-il nous reste pour le pique-nique ? »
Rosy « Une tomate, une boîte de thon et un quignon de pain … »
P. « On s’arrête à la première épicerie pour faire le plein … »
R. « Toi, t’as vraiment peur d’avoir faim … »
En route petite troupe …
P. « En avant pour la descente … »
Je ne sais pas où j’ai vu de la descente. Cela monte direct. Il faut mettre du charbon dès les premiers kilomètres. Et oui c’est aussi ça le voyage à vélo. Pas le temps de chauffer la « machine ».
Sarcey, petit village au sommet de la montée. A l’entrée du hameau, sur la gauche, une petite terrasse au soleil a l’air vraiment sympa, l’Auberge des Marronniers.
C’est un peu tôt, pour le petit café du matin, cela fait juste une demie heure que nous sommes en route.
Pas grave, l’intérieur est encore plus accueillant que la terrasse. Une bonne odeur de repas en préparation nous fait regretter qu’il soit si tôt.
Nous rencontrons Christine et Pascal les tenanciers. En sirotant le petit café, la discussion s’engage sur le voyage. Et là … tout d’un coup … sans signe précurseur …
Quoi, vous aimeriez bien savoir. Et bien suite au prochain épisode …
Non, je ne suis pas comme ça.
Christine nous offre du pâté fait maison, délicieux, et des cornichons pour notre pique-nique.
Aujourd’hui Pique-nique grand luxe.
Merci Christine et Pascal, belle rencontre, nous reviendrons à la fin de notre périple.
L’après-midi, se résume à une belle montée, avec pas mal de pauses et de superbes paysages.
En fin de journée, réserve d’eau à un cimetière, et oui, et recherche d’un coin sympa pour la nuit.
Phil demande dans une ferme et se fait recevoir comme un voleur par la vieille fermière complètement édentée. Elle avait dû se faire faucher sont dentier le matin par un autre voyageur à vélo.
C’est finalement à Panissière, petit village tranquille, que nous trouvons un camping, tout aussi tranquille, où nous passons la nuit.
C’est depuis ce petit camping tranquille, bien au chaud dans mon sac de couchage que je vous écris ces quelques lignes.
Aujourd’hui, promis c’est que de la descente et du plat. Nous rejoignons la vallée de la Loire.
A la prochaine, bises à toutes et à tous.
Rosy et Phil
Petit dialogue matinal sur le banc du cimetière de Le Breuil.
Phil, la bouche pleine de bircher « Quesque-il nous reste pour le pique-nique ? »
Rosy « Une tomate, une boîte de thon et un quignon de pain … »
P. « On s’arrête à la première épicerie pour faire le plein … »
R. « Toi, t’as vraiment peur d’avoir faim … »
En route petite troupe …
P. « En avant pour la descente … »
Je ne sais pas où j’ai vu de la descente. Cela monte direct. Il faut mettre du charbon dès les premiers kilomètres. Et oui c’est aussi ça le voyage à vélo. Pas le temps de chauffer la « machine ».
Sarcey, petit village au sommet de la montée. A l’entrée du hameau, sur la gauche, une petite terrasse au soleil a l’air vraiment sympa, l’Auberge des Marronniers.
C’est un peu tôt, pour le petit café du matin, cela fait juste une demie heure que nous sommes en route.
Pas grave, l’intérieur est encore plus accueillant que la terrasse. Une bonne odeur de repas en préparation nous fait regretter qu’il soit si tôt.
Nous rencontrons Christine et Pascal les tenanciers. En sirotant le petit café, la discussion s’engage sur le voyage. Et là … tout d’un coup … sans signe précurseur …
Quoi, vous aimeriez bien savoir. Et bien suite au prochain épisode …
Non, je ne suis pas comme ça.
Christine nous offre du pâté fait maison, délicieux, et des cornichons pour notre pique-nique.
Aujourd’hui Pique-nique grand luxe.
Merci Christine et Pascal, belle rencontre, nous reviendrons à la fin de notre périple.
L’après-midi, se résume à une belle montée, avec pas mal de pauses et de superbes paysages.
En fin de journée, réserve d’eau à un cimetière, et oui, et recherche d’un coin sympa pour la nuit.
Phil demande dans une ferme et se fait recevoir comme un voleur par la vieille fermière complètement édentée. Elle avait dû se faire faucher sont dentier le matin par un autre voyageur à vélo.
C’est finalement à Panissière, petit village tranquille, que nous trouvons un camping, tout aussi tranquille, où nous passons la nuit.
C’est depuis ce petit camping tranquille, bien au chaud dans mon sac de couchage que je vous écris ces quelques lignes.
Aujourd’hui, promis c’est que de la descente et du plat. Nous rejoignons la vallée de la Loire.
A la prochaine, bises à toutes et à tous.
Rosy et Phil
Flux RSS