Mardi, matin c'est sous un ciel bas que je quitte mes amis de Davos. Le passage du col à Gène n'a plus de plaisir. La descente sur Landquart fini de me refroidir. Au sortir du café de la gare où j'essaie de me réchauffer, il commence à pleuvoir. Je me trouve bloquer au passage à niveau pour laisser passer le train qui remonte la vallée du Rhin. Je reste là, comme un con, à hésiter sur la suite.
Et merde, je retourne à la gare pour monter dans le train suivant. C'est bien au chaud que je monte jusqu'au col de l'Oberalp, où le soleil revenu, je reprend la route. Je vais bivouaquer dans les premières pentes du col de la Furka.
Mercredi matin il fait -2°C. C'est bon je rentre à la maison. Il y a une saison pour tout. Un dernier col, la Furka, Brigue-Sion en train (vent dans la tronche), et la dernière montée, Sion-Evolène.
Grosse journée, 92km, 7h30 sur la selle et 1863m de dénivelée positive.
C'est en début de soirée que je suis accueilli par une Rosy toute surprise de me retrouver.
Bises
Phil
Et merde, je retourne à la gare pour monter dans le train suivant. C'est bien au chaud que je monte jusqu'au col de l'Oberalp, où le soleil revenu, je reprend la route. Je vais bivouaquer dans les premières pentes du col de la Furka.
Mercredi matin il fait -2°C. C'est bon je rentre à la maison. Il y a une saison pour tout. Un dernier col, la Furka, Brigue-Sion en train (vent dans la tronche), et la dernière montée, Sion-Evolène.
Grosse journée, 92km, 7h30 sur la selle et 1863m de dénivelée positive.
C'est en début de soirée que je suis accueilli par une Rosy toute surprise de me retrouver.
Bises
Phil