Guerrero Negro – San Ignacio, plus de 150km de ligne droite en plein désert. Heureusement le vent nous pousse gentiment quand on roule et nous empêche de cuire quand on se pose.
A la fin du deuxième jour, une dépression dans le paysage, une dernière descente et là, miracle, des palmiers. Des milliers de palmiers, un petit lac, sur la plage abandonnée, un camping, le rêve.
Le matin, en s’enfonçant dans ce petit oasis, un village avec une place avec des arbres, et des restaurants tout autour, San Ignacio. Reste plus qu’à trouver un petit hôtel pour se poser quelques jours.
Ce qui ne fût pas difficile à faire. Du wifi qui fonctionne, quelques contacts avec la Suisse, une petite vidéo de « Passe moi les jumelles » pour nous rappeler d’où nous sommes partis.
Gracias a la vida ....
Bises à tous.
Rosy and Phil
Ps. Blablabla, blublublu, bliblibli, blobloblo pour la Nath.