15 juin 2023, Dleik.
« On dirait le Sud », chantait Nino Ferrer, mais on est au Nord.
L'autre, il chantait « Tu la vouluuuuue, tu la euuuuuu ».
Alors viens te plaindre que tu te les gèle.
Je ne me plains pas, j'ai juste besoin d'un peu de soleil, de moins de vent.
Et aujourd'hui, c'est la fête. Il fait beau, il fait bon et la météo est prometteuse pour les prochains jours.
Le voyage, c'est aussi les rencontres.
Il y a quelques semaines, je rencontre un « jeune » comme moi qui "vèline" vers le Sud comme moi. Ce jour là, il a réservé une chambre dans un hôtel et le soir, on se quitte en se souhaitant bonne route et à une prochaine peut-être.
Je le retrouve sur le ferry hier soir.
« Les belles rencontres se répètent ».que je lui dis.
On décide de bivouaquer au même spot.
Comme il a l'intention de faire une centaine de kilomètre aujourd'hui, je le laisse partir vers 7h, et je décide, journée flemme pour moi.
A 10h, j’entends un vélo. C'est mon compagnon. Il est de retour, 40km, il cherche son téléphone.
Comme il ne le trouve pas, je compose son numéro, et là. Miracle un téléphone sonne dans un de ses sacs.
On se rend compte que nous sommes tous les deux logés à la même enseigne.
Chercheurs.
Un petit coup de cognac pour fêter l'évènement.
Comme toujours quelques photos …
Bises à tous.
Philippe
« On dirait le Sud », chantait Nino Ferrer, mais on est au Nord.
L'autre, il chantait « Tu la vouluuuuue, tu la euuuuuu ».
Alors viens te plaindre que tu te les gèle.
Je ne me plains pas, j'ai juste besoin d'un peu de soleil, de moins de vent.
Et aujourd'hui, c'est la fête. Il fait beau, il fait bon et la météo est prometteuse pour les prochains jours.
Le voyage, c'est aussi les rencontres.
Il y a quelques semaines, je rencontre un « jeune » comme moi qui "vèline" vers le Sud comme moi. Ce jour là, il a réservé une chambre dans un hôtel et le soir, on se quitte en se souhaitant bonne route et à une prochaine peut-être.
Je le retrouve sur le ferry hier soir.
« Les belles rencontres se répètent ».que je lui dis.
On décide de bivouaquer au même spot.
Comme il a l'intention de faire une centaine de kilomètre aujourd'hui, je le laisse partir vers 7h, et je décide, journée flemme pour moi.
A 10h, j’entends un vélo. C'est mon compagnon. Il est de retour, 40km, il cherche son téléphone.
Comme il ne le trouve pas, je compose son numéro, et là. Miracle un téléphone sonne dans un de ses sacs.
On se rend compte que nous sommes tous les deux logés à la même enseigne.
Chercheurs.
Un petit coup de cognac pour fêter l'évènement.
Comme toujours quelques photos …
Bises à tous.
Philippe