Vendredi 7 janvier.
Ce matin, cadeau, un sac plein d’habits propres qui sentent bon la lessive. C’est incroyable comme ce genre de chose peu prendre une telle saveur dans ce genre de voyage. Quel plaisir d’enfiler une paire de chaussettes blanches.
Autre cadeau, nous sommes passé en Bolivie. Il nous a fallu plus de 4 heures pour passer les deux douanes. Le temps de faire connaissance avec ceux de devant et ceux de derrière. J’ai beaucoup pensé au Grand Jacques et à sa chanson « Au suivant… ».
Nous quittons le bruit et la pollution des camions de la ville frontière de Villazon et passons la nuit perdu au milieu de nulle part. Le soleil nous offre son magnifique coucher et la lune un tout petit croissant.
Samedi 8 janvier.
Petit dialogue matinal.
« Bonjour, bien dormi ?
C’est quelle heure ?
6 heures.
Comment ça 6 heures.
Et oui, on a perdu 1 heure entre l’Argentine et la Bolivie.
Ha bon…..
Qu’est ce qu’on fait ? On s’arrache ?
On s’arrache. »
Et c’est ainsi qu’à 7h30 ça roule ma poule. Ce sera une longue journée pour rejoindre Tupiza. Et oui, les paysages toujours les paysages. Nous profitons de la route goudronnée pour faire notre plus longue étape à ce jour, 75km. Demain, les vélos sont au repos, ou est-ce nous qui sommes au repos. Je vous laisse choisir. Rosy, elle a déjà fait son choix.
Dimanche 9 janvier.
Tupiza, on se repose. Nous allons à la fête des Rois. Grande fiesta avec spectacles de danses folkloriques, de nombreux stands de croque locale et « Luna parc » bolivien. Pour un peu on se serai cru au Paléo.
Le plus fou étant les courses de chevaux au milieu du village.
Ce matin, cadeau, un sac plein d’habits propres qui sentent bon la lessive. C’est incroyable comme ce genre de chose peu prendre une telle saveur dans ce genre de voyage. Quel plaisir d’enfiler une paire de chaussettes blanches.
Autre cadeau, nous sommes passé en Bolivie. Il nous a fallu plus de 4 heures pour passer les deux douanes. Le temps de faire connaissance avec ceux de devant et ceux de derrière. J’ai beaucoup pensé au Grand Jacques et à sa chanson « Au suivant… ».
Nous quittons le bruit et la pollution des camions de la ville frontière de Villazon et passons la nuit perdu au milieu de nulle part. Le soleil nous offre son magnifique coucher et la lune un tout petit croissant.
Samedi 8 janvier.
Petit dialogue matinal.
« Bonjour, bien dormi ?
C’est quelle heure ?
6 heures.
Comment ça 6 heures.
Et oui, on a perdu 1 heure entre l’Argentine et la Bolivie.
Ha bon…..
Qu’est ce qu’on fait ? On s’arrache ?
On s’arrache. »
Et c’est ainsi qu’à 7h30 ça roule ma poule. Ce sera une longue journée pour rejoindre Tupiza. Et oui, les paysages toujours les paysages. Nous profitons de la route goudronnée pour faire notre plus longue étape à ce jour, 75km. Demain, les vélos sont au repos, ou est-ce nous qui sommes au repos. Je vous laisse choisir. Rosy, elle a déjà fait son choix.
Dimanche 9 janvier.
Tupiza, on se repose. Nous allons à la fête des Rois. Grande fiesta avec spectacles de danses folkloriques, de nombreux stands de croque locale et « Luna parc » bolivien. Pour un peu on se serai cru au Paléo.
Le plus fou étant les courses de chevaux au milieu du village.