Lundi, 7 février.
L’étape est courte jusqu’à la Laguna Blanca. Le ciel a retrouvé un bleu profond.
Justine, la gardienne du refuge nous accueille avec un repas bienvenu. La suite de la route jusqu’à la Laguna Verde se fera pratiquement en poussant le vélo tellement le vent est fort. Il nous faudra presque 2 heures pour faire 6 km.
Le problème dans ce vent est de trouver un coin un peu abrité. Un caillou un peu plus grand que les autres fera l’affaire. Surtout ne pas lâcher la tente tant qu’elle n’est pas solidement ancrée. Nous sommes venus jusqu’ici pour pouvoir faire des photos, et nous nous retrouvons blottis dans notre petit nid à l’abri de la tempête. Espérons que demain se sera calmé.
Mardi, 8 février.
Le temps est un peu couvert mais le vent s’est calmé pour le moment. Nous profitons pour faire un petit détour vers un promontoire avec vue sur la Laguna Verde puis nous revenons vers le refuge de la Laguna Blanca tout en observant les oiseaux.
Ce soir, c’est moi qui fait la cuisine au refuge, à la grande joie de Justine (qui, comme beaucoup de ses compatriotes ne se laisse pas photographier).
Mercredi, 9 février.
Ciel de carte postale, mais température de frigo. Nous avons beaucoup de peine à quitter cet endroit magique. Surtout que aujourd’hui c’est notre dernier jour en Bolivie. Tout le long des 6km nous séparant de la frontière, nous sommes accompagné d’un vent contraire à décorner des bœufs, comme si ce merveilleux pays ne voulait pas que nous le quittions.
A la frontière, lors du pic-nique, nous avons la visite d’un renard andin, génial.
Bye bye Bolivie.
Tes paysages nous rappellerons un jour pour un autre voyage. Tes gens, malgré leur réserve nous ont chaque fois fait chaud au cœur.
Hasta luego Bolivia, gracias por todo.
L’étape est courte jusqu’à la Laguna Blanca. Le ciel a retrouvé un bleu profond.
Justine, la gardienne du refuge nous accueille avec un repas bienvenu. La suite de la route jusqu’à la Laguna Verde se fera pratiquement en poussant le vélo tellement le vent est fort. Il nous faudra presque 2 heures pour faire 6 km.
Le problème dans ce vent est de trouver un coin un peu abrité. Un caillou un peu plus grand que les autres fera l’affaire. Surtout ne pas lâcher la tente tant qu’elle n’est pas solidement ancrée. Nous sommes venus jusqu’ici pour pouvoir faire des photos, et nous nous retrouvons blottis dans notre petit nid à l’abri de la tempête. Espérons que demain se sera calmé.
Mardi, 8 février.
Le temps est un peu couvert mais le vent s’est calmé pour le moment. Nous profitons pour faire un petit détour vers un promontoire avec vue sur la Laguna Verde puis nous revenons vers le refuge de la Laguna Blanca tout en observant les oiseaux.
Ce soir, c’est moi qui fait la cuisine au refuge, à la grande joie de Justine (qui, comme beaucoup de ses compatriotes ne se laisse pas photographier).
Mercredi, 9 février.
Ciel de carte postale, mais température de frigo. Nous avons beaucoup de peine à quitter cet endroit magique. Surtout que aujourd’hui c’est notre dernier jour en Bolivie. Tout le long des 6km nous séparant de la frontière, nous sommes accompagné d’un vent contraire à décorner des bœufs, comme si ce merveilleux pays ne voulait pas que nous le quittions.
A la frontière, lors du pic-nique, nous avons la visite d’un renard andin, génial.
Bye bye Bolivie.
Tes paysages nous rappellerons un jour pour un autre voyage. Tes gens, malgré leur réserve nous ont chaque fois fait chaud au cœur.
Hasta luego Bolivia, gracias por todo.