2022.04.13 Gaskogen
Après 2 jours de pause, je reprends la route vers le nord. Il faut bien me motiver car il neige. Je me dis que c’est l’occasion de tester mon équipement. C’est faisable. Juste un peu le bout des pieds qui dégustent. Le sang a de la peine à trouver l’extrémité du 46 fillette. Peut-être devrais-je en couper un bout.
Après quelques kilomètres, deux grues cendrées m’encouragent. Je ne suis pas seul dans ce voyage vers le nord. Kdo.
Puis le soleil, bien que timide m’aide à retrouver un peu plus de motivation. Même gris, le paysage est magnifique.
Bivouac sur un tapis de neige, avec mes nouveaux chaussons en plumes. Grand luxe.
Un soir, je galère pour trouver le refuge que j’ai repéré sur le GPS. Tu pousses, tu tires, tu transpires pour trouver une chambre à coucher avec vue sur la platitude de ce pays
Platitude, façon de voir. Les prochains jours je ferai que de monter/descendre pour me retrouver avec plus de 600m de positif sur 40km, sans être monté à plus de 250m d’altitude.
Ajoutez-y des routes couvertes de neige, des pistes coulantes comme du papier-mouches, assez pour que je décide de mettre la barre un peu moins haute.
« A l’impossible, nul n’est tenu ».
Je laisse l’European Devide Trail pour une autre fois, peut-être.
Je vais retrouver les routes un peu plus fréquentées pour rejoindre Kirkenes début juin.
Cela me permettra de retrouver ma Belle et le kmion à Oslo mi-juin.
Et si tout va bien de se balader quelque temps en Norvège, Suède et pourquoi pas la Finlande.
Bises
Phil
Après 2 jours de pause, je reprends la route vers le nord. Il faut bien me motiver car il neige. Je me dis que c’est l’occasion de tester mon équipement. C’est faisable. Juste un peu le bout des pieds qui dégustent. Le sang a de la peine à trouver l’extrémité du 46 fillette. Peut-être devrais-je en couper un bout.
Après quelques kilomètres, deux grues cendrées m’encouragent. Je ne suis pas seul dans ce voyage vers le nord. Kdo.
Puis le soleil, bien que timide m’aide à retrouver un peu plus de motivation. Même gris, le paysage est magnifique.
Bivouac sur un tapis de neige, avec mes nouveaux chaussons en plumes. Grand luxe.
Un soir, je galère pour trouver le refuge que j’ai repéré sur le GPS. Tu pousses, tu tires, tu transpires pour trouver une chambre à coucher avec vue sur la platitude de ce pays
Platitude, façon de voir. Les prochains jours je ferai que de monter/descendre pour me retrouver avec plus de 600m de positif sur 40km, sans être monté à plus de 250m d’altitude.
Ajoutez-y des routes couvertes de neige, des pistes coulantes comme du papier-mouches, assez pour que je décide de mettre la barre un peu moins haute.
« A l’impossible, nul n’est tenu ».
Je laisse l’European Devide Trail pour une autre fois, peut-être.
Je vais retrouver les routes un peu plus fréquentées pour rejoindre Kirkenes début juin.
Cela me permettra de retrouver ma Belle et le kmion à Oslo mi-juin.
Et si tout va bien de se balader quelque temps en Norvège, Suède et pourquoi pas la Finlande.
Bises
Phil