1er décembre
Cachi – La Poma
La Vallée Calchaqui c’est beau, c’est magnifique…
Nous montons le long du Rio et tout devient vert. Les montagnes prennent des couleurs rouges, bleues, grises … Tout à coup, des champs verts avec 1 voir 2 arbres (ouf pour l’ombre il fait 42°).
Nous arrivons à Palermo et là il me faut de l’ombre et il me faut manger. Là, une maison au bord de la route et derrière la maison un arbre. Phil va voir, un chien aboie, voilà qu’arrive les bras grands ouverts, Anastasia. Une vielle femme qui m’accueille comme si elle m’attendait, comme si j’étais l’enfant prodigue.
Je suis touchée aux larmes par cette rencontre inattendue. Elle me serre dans ses bras puis nous fait entrer à l’ombre de son arbre.
Elle me parle des ses colombes et autres oiseaux qui l’accompagnent tout au long de la journée et qui s’envolent lorsque quelqu’un vient chez elle.
Elle nous offre un « cageot » comme table et deux chaises basses qu’elle sort de sa « casita ».
Nous mangeons dans son patio où poussent de magnifiques fleurs.
Quelle rencontre extraordinaire. Elle vit ici avec son fils et ses chèvres. Elle n’a pas grand-chose mais un cœur gros comma ça.
Nous continuons notre route. Quelques voitures passent dans la journée, sinon c’est le calme total, comme j’en rêvais. Nous nous enfonçons dans cette vallée. Tout à coup, au détour de la route, Pueblo Viego, vert, orange, rouge … wouahhh … superbe.
Il fait de plus en plus chaud et nous sommes à 15km de La Poma. Nous nous renseignons pour un coin où poser notre tente. Juan nous dit qu’un peu plus loin du pueblo il y a un endroit avec des arbres et un ruisseau. Wouahhh …un éden, un paradis. Quel calme, quelle merveille …
Le matin départ pour La Poma. La route grimpe de plus en plus, le paysage est grandiose. Nous nous arrêtons dans l’oasis qu’est La Poma. Petit hôtel avec un patio, « El Acay ».
GRACIAS A LA VIDA
Rosy
Cachi – La Poma
La Vallée Calchaqui c’est beau, c’est magnifique…
Nous montons le long du Rio et tout devient vert. Les montagnes prennent des couleurs rouges, bleues, grises … Tout à coup, des champs verts avec 1 voir 2 arbres (ouf pour l’ombre il fait 42°).
Nous arrivons à Palermo et là il me faut de l’ombre et il me faut manger. Là, une maison au bord de la route et derrière la maison un arbre. Phil va voir, un chien aboie, voilà qu’arrive les bras grands ouverts, Anastasia. Une vielle femme qui m’accueille comme si elle m’attendait, comme si j’étais l’enfant prodigue.
Je suis touchée aux larmes par cette rencontre inattendue. Elle me serre dans ses bras puis nous fait entrer à l’ombre de son arbre.
Elle me parle des ses colombes et autres oiseaux qui l’accompagnent tout au long de la journée et qui s’envolent lorsque quelqu’un vient chez elle.
Elle nous offre un « cageot » comme table et deux chaises basses qu’elle sort de sa « casita ».
Nous mangeons dans son patio où poussent de magnifiques fleurs.
Quelle rencontre extraordinaire. Elle vit ici avec son fils et ses chèvres. Elle n’a pas grand-chose mais un cœur gros comma ça.
Nous continuons notre route. Quelques voitures passent dans la journée, sinon c’est le calme total, comme j’en rêvais. Nous nous enfonçons dans cette vallée. Tout à coup, au détour de la route, Pueblo Viego, vert, orange, rouge … wouahhh … superbe.
Il fait de plus en plus chaud et nous sommes à 15km de La Poma. Nous nous renseignons pour un coin où poser notre tente. Juan nous dit qu’un peu plus loin du pueblo il y a un endroit avec des arbres et un ruisseau. Wouahhh …un éden, un paradis. Quel calme, quelle merveille …
Le matin départ pour La Poma. La route grimpe de plus en plus, le paysage est grandiose. Nous nous arrêtons dans l’oasis qu’est La Poma. Petit hôtel avec un patio, « El Acay ».
GRACIAS A LA VIDA
Rosy