Dimanche, 6 février.
Nous prenons congé des tenanciers du « comedor » avec un petit pincement au cœur. Le petit dernier, Alex, 3 ans, m’a adopté. Il se bidonne en tirant les poils de ma barbe.
La route nous mène au désert de Dali. On dirait de la peinture. Le ciel est couvert. Les photos ne reflètent pas la beauté du lieu. Heureusement en vélo cela ne va pas vite et cela nous permet de nous en mettre plein les mirettes. Rosy va même à pied pour que cela dure plus longtemps.
La route monte à prés de 4800m. Dans la descente vers la Laguna Blanca nous décidons de planter notre tente au milieu de nulle part pour, comme toujours, profiter de la vue. Journée forte en émotions tellement les paysages sont fabuleux.
Nous prenons congé des tenanciers du « comedor » avec un petit pincement au cœur. Le petit dernier, Alex, 3 ans, m’a adopté. Il se bidonne en tirant les poils de ma barbe.
La route nous mène au désert de Dali. On dirait de la peinture. Le ciel est couvert. Les photos ne reflètent pas la beauté du lieu. Heureusement en vélo cela ne va pas vite et cela nous permet de nous en mettre plein les mirettes. Rosy va même à pied pour que cela dure plus longtemps.
La route monte à prés de 4800m. Dans la descente vers la Laguna Blanca nous décidons de planter notre tente au milieu de nulle part pour, comme toujours, profiter de la vue. Journée forte en émotions tellement les paysages sont fabuleux.